Le sénateur Bernard Delcros a tenu à participer à l’inauguration d’une plaque en l’honneur de Louis Bergaud, enfant du pays, coureur cycliste, surnommé « La puce du Cantal », pour les sauts de puces qu’il effectuait dans les côtes. Ce champion a participé dans les années cinquante à plusieurs courses prestigieuses comme le Milan-San Remo, le Critérium du Dauphiné Libéré et le légendaire Tour de France, à sept reprises, où il a décroché deux victoires d’étape et une 7ème place en 1954. « Des performances sportives qui méritaient ce bel hommage que nous avons eu plaisir à organiser en sa présence et celle de ses proches », a indiqué le sénateur.
Direction Salers pour le sénateur Bernard Delcros, invité à l’ouverture du 21ème Salon des Sites Remarquables du Goût mais aussi à l’inauguration du nouvel office de tourisme du pays de Salers qui accueille près de 60 000 visiteurs par an. « Au fil des années et des inaugurations, je constate avec plaisir l’évolution de l’accueil et de l’offre touristique dans nos territoires qui se structurent, innovent, donnent une nouvelle image de la ruralité et accompagnent avec toujours plus de professionnalisme le développement touristique de notre département. Nous devons poursuivre ce cap, car le tourisme authentique et de pleine nature que nous offrons a sans doute encore des marges de progression pour créer plus de richesse économique et de l’emploi dans le Cantal ! », souligne le sénateur.
Présidée par Pierre Jarlier et animée par deux représentantes de l’association nationale, Marie-Cécile Georges et Alice Couranjou, le congrès de l’AMF du Cantal, organisé à Arpajon,-sur-Cère, était centré sur des sujets qui concernent le quotidien des collectivités locales et des habitants : la répartition des compétences entre communes et intercommunalités, la mutualisation des services, les conséquences de la réorganisation territoriale, la réforme de la fiscalité locale… Lors de son intervention, le sénateur Bernard Delcros a pu donner des informations sur l’actualité législative mais aussi sur son engagement au Sénat « pour qu’il soit davantage tenu compte des spécificités du milieu rural, comme par exemple les questions de l’eau et de l’assainissement pour lesquelles les solutions en secteur rural sont très différentes de celles du milieu urbain ».
Après Vic-sur-Cère, c’est dans l’arrondissement de Mauriac que le sénateur est accueilli pour participer avec sa supplémante Mireille Leymonie, à une rencontre avec le conseil municipal de Champs-sur-Tarentaine et la commune associée de Marchal. Deux heures d’échanges avec les élus auront permis d’évoquer de nombreux sujets comme l’avenir des collectivités et de leurs moyens financiers, les dotations, la péréquation, l’articulation des compétences avec les intercommunalités, les projets communaux, la téléphonie mobile, l’entretien des routes, le maintien des services à la population, le tourisme… « Ces rencontres sur le terrain confortent mon engagement au Sénat et ma détermination pour faire entendre la voix d’une ruralité vivante, dynamique et innovante qui mérite une vraie politique nationale d’aménagement du territoire ! », rappelle Bernard Delcros.
Le sénateur du Cantal a répondu à l’invitation de Dominique Bru, maire de Vic-sur-Cère, pour participer à une réunion de travail avec les élus de la commune autour des questions d’actualité qui concernent les collectivités. Au programme, l’évolution des dotations, les incidences de la suppression de la taxe d’habitation sur la commune de Vic, la future réforme de la fiscalité locale. Les projets de la commune et les moyens de les financer, les subventions et l’évolution probable des taux d’intérêt, la réorganisation de la circulation dans la traversée, l’avenir du casino actuellement installé dans le bourg… ont également fait l’objet d’échanges entre les élus. Pour le sénateur, « Vic-sur-Cère porte plusieurs projets importants pour améliorer les services aux habitants. D’autres, attachés au développement économique et culturel, sont réalisés par l’intercommunalité. En développant un ensemble de services de proximité à la population, Vic renforce son rôle de bourg-centre dans son bassin de vie et à proximité d’Aurillac. »
C’est en présence du directeur général de l’Agence Régionale de Santé Auvergne-Rhône-Alpes, du préfet du Cantal, de nombreux élus et partenaires que Saint-Flour Communauté et Hautes Terres Communauté ont signé leur Contrat Local de Santé. Invité à cette signature, Bernard Delcros l’était à double titre : en tant que sénateur du Cantal mais également en tant que conseiller communautaire de Hautes Terres communauté. « L’offre de soins est le premier critère d’attractivité d’un territoire et le premier défi que nous devons relever. Malgré toute l’énergie déployée par les collectivités, malgré leurs réalisations structurantes pour améliorer l’accès aux soins, la tâche reste immense pour nos territoires qui manquent de médecins généralistes et de spécialistes pour répondre aux besoins de leurs habitants. D’où l’intérêt de s’unir pour mettre en œuvre une politique de santé publique locale concertée et plus efficace. Et c’est bien le sens de ce Contrat Local de Santé, bâti en lien étroit avec les professionnels de santé et les acteurs sociaux », a rappelé le sénateur, saluant les deux présidents Gyslaine Pradel et Pierre Jarlier qui ont rendu possible l’aboutissement de ce travail, initié sous son impulsion lorsqu’il présidait Hautes Terres communauté.
A l’issue de l’assemblée générale du syndicat des apiculteurs du Cantal, étape pour le sénateur et Mireille Leymonie, sa suppléante, à la miellerie de Fabien Husser qui cultive également des plantes aromatiques et médicinales. Une visite pleine de sens pour Bernard Delcros qui vient de s’engager avec une vingtaine de sénateurs, dans une mission d’information sur le développement de l’herboristerie et des plantes médicinales. “Nous allons mener une série d’auditions, nous déplacer sur le terrain, élaborer un rapport complet assorti de propositions concrètes pour accompagner le développement de cette filière d’avenir qui a toute sa place dans un département préservé comme le nôtre.” Fin juin, dans le cadre de l’examen du projet de loi agriculture et alimentation, le sénateur saisira cette occasion pour présenter plusieurs textes en faveur de l’agriculture de montagne. En attendant, il multiplie les rencontres sur le terrain pour échanger avec les acteurs de la filière agricole sans laisser de côté les niches porteuses qui pourraient demain créer de nouvelles richesses et de l’emploi.
Fervent défenseur de la biodiversité mais aussi des consommateurs et de la filière apiculture, le sénateur Bernard Delcros a récemment répondu à l’invitation de Christian Carrier, président du syndicat des apiculteurs du Cantal. Objectif, informer et soutenir les professionnels du département qui viennent de traverser deux années difficiles. L’occasion pour Bernard Delcros de faire un point d’étape sur l’actualité législative concernant la filière apiculture. “Il y a deux ans, dans le cadre de la loi biodiversité, il s’agissait d’obtenir l’interdiction des néonicotinoïdes pour protéger les abeilles qui jouent un rôle essentiel dans la préservation de nos ressources alimentaires et la biodiversité. Mais à quelques mois de l’application de ce texte, nous restons mobilisés face à certaines manœuvres d’industriels qui tentent de détourner cette interdiction” explique le sénateur qui défendra également, comme il l’avait annoncé, un amendement en faveur d’une meilleure traçabilité des miels et produits dérivés.