Invité par le président du comité pluraliste de la sauvegarde, la valorisation et le développement du train Aubrac, le sénateur du Cantal a exprimé une nouvelle fois son soutien auprès des élus, usagers et agents de la SNCF, présents, concernés par l’avenir de cette ligne desservant Béziers-Neussargues-Clermont-Ferrand. Lors de ce débat citoyen, qui arrive à point nommé dans un contexte national où des décisions vont prochainement être prises, Bernard Delcros a rappelé son engagement en faveur du rail. « Ce mode de transport qui doit s’adapter aux nouveaux usages, je pense notamment aux plateformes multimodales, a toute sa place dans la mobilité de demain car il répond à des enjeux écologiques mais également d’aménagement du territoire dans des régions à faible densité de population comme le Massif central ». C’est cette ligne que le sénateur du Cantal entend défendre lors de l’examen du projet de loi d’orientation de la mobilité intérieure, débattu ce printemps au Parlement.
Nouvelle réunion de travail et nouvelle occasion pour les élus locaux de sensibiliser le sénateur sur les difficultés rencontrées, parmi lesquelles, le doublement de la redevance sur la ressource en eau qui a frappé cette commune de moins de 900 habitants. Pour Bernard Delcros, « Cette majoration est inacceptable car elle pénalise les petites communes qui n’ont pas les moyens humains de faire face à un empilement de procédures complexes». Le sénateur s’est d’ailleurs emparé de ce sujet en octobre dernier et a porté une proposition de loi visant à réduire la charge administrative imposée aux collectivités lors de leur déclaration, afin de mettre un coup d’arrêt à ces pénalités injustement appliquées. Soutenue par les sénateurs de tous bords et le gouvernement, elle devrait être adoptée par l’Assemblée nationale pour une entrée en vigueur le 1er janvier 2020.
En ce début d’année, le sénateur du Cantal reprend ses déplacements dans les différentes communes du département pour répondre à l’invitation des maires et intervenir lors de leur Conseil municipal. Ces rencontres lui permettent de rendre compte de son travail parlementaire, d’entrer plus en détails dans le contenu de ses missions mais aussi d’expliquer concrètement les mesures de la loi de finances 2018 et leur déclinaison pour les collectivités et les habitants. Elles sont également l’occasion pour le sénateur, de prendre connaissance des projets portés par les communes et parfois de décanter des situations. « A Naucelles, qui gagne de nouveaux habitants grâce à son dynamisme en termes d’offre de logements, de services et de commerces, les échanges se sont portés sur les fonds européens que les élus ont du mal à mobiliser en raison de financements croisés. Une complexité administrative sur laquelle je me suis mobilisé et qui pourrait être rapidement débloquée !» précise le sénateur du Cantal.
Après Tanavelle, direction Neuvéglise-sur-Truyère, pour le sénateur du Cantal pour y retrouver le maire Céline Charriaud et son Conseil municipal, Serge Delrieu, sous-préfet du Cantal, Jean-Jacques Monloubou, conseiller départemental et une centaine d’habitants. Lors de son intervention, Bernard Delcros salue le dynamisme de cette commune nouvelle qui conforte son rôle de pôle de services avec des projets structurants menés en partenariat avec Saint-Flour communauté . « Voici un bel exemple d’une stratégie globale et cohérente de développement local, qui valorise les atouts de ce territoire, stratégiquement situé sur l’axe Planèze-Aubrac. Bravo aux élus pour cette vision qui donne du sens à l’action publique ! » .
Dans le Cantal comme ailleurs, les cérémonies de voeux rythmeront ce mois de janvier. Très attaché à ces rencontres qui permettent d’apporter des informations concrètes et de renforcer le lien avec les élus et les habitants, le sénateur du Cantal participera cette année encore à un maximum de cérémonies dans le département. Et c’est à Tanavelle, petite commune de 260 habitants que le sénateur du Cantal débute sa tournée. « Ma présence à leurs côtés est une façon de leur exprimer mon soutien dans leurs projets, de les éclairer sur les orientations et décisions nationales qui les concernent directement, sur les actions que je mène au niveau national en faveur de notre ruralité », précise le sénateur. La présentation des projets par le maire, Gilbert Chevalier, a donné au sénateur, une nouvelle occasion de rappeler le rôle fondamental joué par l’échelon communal en termes de lien social, de solidarité, de services de proximité auprès des habitants.
C’est en qualité de vice-président de la commission des finances au Sénat mais aussi d’élu de terrain et de défenseur de la ruralité que Bernard Delcros a été invité au colloque « Revitaliser les territoires ruraux en Ile-de-France», pour s’exprimer sur les finances locales et les évolutions prévues dans le projet de loi de finances pour 2018. Organisé à Paris, en présence de la ministre Jacqueline Gourault, ce colloque a permis au sénateur du Cantal d’apporter sa vision sur l’avenir de la ruralité auprès de son auditoire composé de maires ruraux franciliens et de médias locaux.
Le sénateur du Cantal a répondu à l’invitation du Conseil départemental pour apporter sa vision sur l’avenir de la ruralité. Services publics, couverture numérique, téléphonie fixe et mobile, offre de soins en libéral mais aussi dans les hôpitaux ruraux, attractivité des territoires, politique d’accueil de nouveaux arrivants, transition numérique et écologique pour créer les emplois de demain… autant d’enjeux et de rendez-vous à ne pas manquer selon le sénateur pour réussir la mutation nécessaire des territoires ruraux.
Alors que le projet de loi de finances est en cours d’examen au Sénat, Bernard Delcros poursuit ses réunions d’information dans les différentes communes du Cantal pour relayer les avancées de ce débat législatif avec un focus sur les dotations de l‘Etat aux collectivités prévues en 2018. A Saint-Flour comme dans les autres communes, le sénateur n’hésite pas à sortir du cadre pour répondre aux questions des élus sur d’autres sujets qui les préoccupent comme ici, les évolutions en matière de compétences notamment celles de l’eau et de l’assainissement. Pour Bernard Delcros, ces temps d’échanges et de proximité, en prise directe avec le terrain, sont chaque fois des moments précieux et nécessaires dans son travail parlementaire.