C’est en élu de terrain que le sénateur est intervenu lors de la réunion de pilotage sur la route nationale 122, présidée par le préfet du Cantal, Isabelle Sima, en présence de nombreux élus et acteurs concernés. Moderniser le principal axe routier du Cantal est pour Bernard Delcros un enjeu capital pour l’avenir du département.
«On en parle depuis trop longtemps sans résultats tangibles, mêmes si de réelles améliorations ont été apportées » t-il souligné en préambule. « L’Etat a engagé une étude globale sur la longueur de l’itinéraire. C’est la bonne méthode mais l’étude en cours de réalisation ne peut se limiter à quelques aménagements ponctuels ». Elle doit selon lui tracer concrètement un projet global et ambitieux pour les vingt prochaines années. Et cela doit être fait de façon à engager dans les meilleurs délais les études pré-opérationnelles qui concernent les aménagements prioritaires, notamment les contournements de Vic sur Cère, Thiezac et Maurs ou le giratoire de Murat, un chantier de moindre ampleur mais également prioritaire.
« Cette approche globale est indispensable pour avancer avec pragmatisme et nous inscrire dans la durée. Les communes et intercommunalités pourront ainsi anticiper les réalisations futures et adapter leurs documents d’urbanisme afin d’éviter de nouvelles constructions sur des emplacements qui pourraient compromettre ces projets. Elle permettra aussi créer des réserves foncières ou de planifier des études environnementales, souvent longues qu’il convient d’anticiper » a précisé le sénateur, soulignant que les élus, les acteurs économiques et les habitants ont besoin de visibilité.
Bernard Delcros continuera à suivre avec la plus grande attention ce dossier. « Il y va de l’attractivité de notre département qui ne doit pas rester à l’écart des nécessaires évolutions au moment où le gouvernement prévoit un plan d’investissement de 50 milliards sur 5 ans ! » a-t- il conclu.
Invité par Gilbert Mommalier, maire de Saint-Etienne-de-Chomeil, Bernard Delcros a participé à une inauguration, en présence d’Alain Marleix, conseiller régional, de Valérie Cabecas, vice-présidente du Conseil départemental, François de Boisset, maire de Riom-es-Montagnes, de plusieurs maires et élus mais aussi de nombreux habitants.
Il s’agissait de la rénovation de l’ancien presbytère de la commune où ont été créés deux nouveaux logements. Pour le sénateur, « Cette opération est exemplaire car elle s’intègre dans un programme bien plus vaste d’aménagement du bourg qui comprend la restauration du bâti, la création de nouveaux logements, la mise en valeur des espaces publics, la construction de murets de pierres, l’installation d’un nouvel éclairage public ou encore le fleurissement des rues. Autant d’aménagements qui améliorent le cadre de vie des habitants, rendent ce bourg très agréable et particulièrement attractif avec des effets positifs au niveau démographique car régulièrement de nouvelles familles s’y installent ».
Bernard Delcros voit en cette rénovation la démonstration que détermination et confiance en l’avenir permettent aussi aux élus de petites communes comme Saint-Etienne-de-Chomeil, 200 habitants, de réaliser des projets moteurs et structurants.
Le sénateur a découvert en présence de Sybille Samoyault, sous-préfète de Mauriac, Jean-Yves Bony, député, Valérie Cabecas, vice-présidente du Conseil départemental, Pierre Pouget maire d’Apchon, François Boisset, maire de Riom et de plusieurs élus et acteurs du site, le chantier de restauration du château d’Apchon.
Ce château du XIème siècle, qui a joué un rôle défensif de premier ordre face aux Anglais au cours de la guerre de Cent Ans, est classé depuis 1941. Ses vestiges que la commune a décidé de préserver pour les mettre en valeur constituent « une véritable richesse historique, culturelle et touristique », a souligné le sénateur, réaffirmant son soutien à cette réalisation tout en félicitant les acteurs, en premier lieu le maire d’Apchon et son conseil d’avoir entrepris ce beau projet.
Bernard Delcros a participé à l’inauguration de l’éclairage du terrain de football à Saint-Just, en présence de Bruno Paran, maire de Val d’Arcomie, Jean-Claude Chastang, maire de Saint-Just, et de plusieurs responsables élus et associatifs.
L’occasion pour le sénateur de remercier « les bénévoles qui maintiennent depuis de nombreuses années une dynamique sportive remarquable dans une petite commune de 200 habitants ».
Le 29 mars dernier, le magazine « Enquêtes de région » sur France 3 s’est intéressé au tout nouveau FabLab de Murat, créé à l’initiative du Sénateur Bernard Delcros, président de Hautes Terres communauté. Un bel éclairage sur un outil pionnier dans le Cantal, marqueur d’une ruralité innovante et entreprenante.
Retrouvez ici le reportage :
Le Sénateur Bernard Delcros était l’invité de l’émission « Dimanche en politique » sur France 3 pour revenir sur la loi montagne, récemment votée au Sénat. Un dossier sur lequel il s’est particulièrement investi ces derniers mois. “C’est une nouvelle occasion de revenir sur les avancées concrètes de cette loi mais aussi de souligner ses limites. Ce texte ne va pas assez loin et ne répond que partiellement aux enjeux de la moyenne montagne, notamment dans les domaines de la couverture numérique et de l’accès à la téléphonie mobile. Il sera donc nécessaire d’améliorer ce texte dans les prochains mois” a souligné le sénateur lors de ses différentes interventions.
Retrouvez les extraits de l’émission :
C’est lors d’un déplacement du ministre de l’Agriculture sur l’exploitation agricole de Bruno Dufayet, président de la Fédération Nationale Bovine et président de la Commission enjeux sociétaux d’INTERBEV que le Sénateur Bernard Delcros a rejoint sur le terrain Stéphane Le Foll et le Préfet du Cantal, Isabelle Sima.
Au cours de cette rencontre, il a été question de l’avenir de la filière d’élevage en montagne mais aussi de préservation et de valorisation de l’environnement. Deux piliers essentiels et complémentaires qui selon le Sénateur doivent orienter et accompagner les politiques agricoles de nombreux territoires ruraux comme le Cantal.
À noter qu’un rapport issu de la concertation entre la filière élevage et plusieurs ONG (France Nature Environnement, Fondation Nicolas Hulot, Green Cross, et WWF) met en lumière les nombreux points de convergence entre tous ces acteurs.
Retrouvez ici les conclusions du rapport « Élevage bovin allaitant français et climat ».
Portée par la communauté de communes Entre Cère et Goul, cette réalisation est selon le sénateur un projet exemplaire tant au niveau de son architecture que du fonctionnement choisi par les professionnels de santé qui se sont regroupés en association . « Peu à peu, les territoires de notre département se dotent de maisons de santé permettant d’offrir aux professionnels de santé des conditions d’exercice plus favorables, de gagner en attractivité et d’agir concrètement contre la désertification médicale ».