Lors de l’inauguration des locaux rénovés de la mairie de Saint Martin Valmeroux dans un beau bâtiment de centre bourg, Bernard Delcros a insisté sur le rôle le rôle de pôle de services et d’emploi que joue cette commune stratégiquement située sur l’axe Aurillac-Mauriac. « Avec la création récente d’une maison de santé, l’aménagement de nouveaux locaux pour l’école primaire, les bureaux de la maison des services installés dans la nouvelle mairie, ce bourg conforte son offre de services et renforce son attractivité ».
Invité par le maire, Patrick Leray, Bernard Delcros a participé au Conseil municipal et pu découvrir à cette occasion le projet de lotissement communal . « Un projet qui s’appuie sur un concept novateur en privilégiant pour les futurs habitants le choix du partage, de la gestion commune des espaces, du vivre ensemble, de la protection de la biodiversité, de la participation à une démarche éco-citoyenne ». Le sénateur soutiendra ce projet particulièrement innovant qui pourra servir de référence pour le département.
C’est en qualité de Président de Hautes Terres communauté, à l’initiative de ce nouveau projet, que le sénateur du Cantal a inauguré en présence du préfet du Cantal, Isabelle Sima, le 1er atelier de fabrication numérique du département et sans doute le seul fablab rural en France doté d’un tel équipement.
Bernard Delcros apporte ainsi une nouvelle brique au dispositif numérique lancé il y a déjà 10 ans dans un territoire pionnier dans le télétravail, le coworking et aujourd’hui la fabrication numérique. « Notre action autour de l’économie numérique et collaborative prend aujourd’hui un nouvel élan. Nous ferons de ce fablab, un nouveau marqueur de l’innovation sociale et économique en milieu rural ! ».
Le 7 novembre, Bernard Delcros s’est rendu sur la commune de Le Rouget-Pers afin de participer à l’inauguration d’une opération portée par le bailleur social Logisens. « La série de réalisations que nous avons inaugurées hier illustre la dynamique de ce territoire : deux nouveaux pavillons locatifs au cœur du lotissement communal, cinq constructions bois pour compléter l’hébergement touristique aux abords immédiats du lac, plusieurs équipements sportifs et de loisirs », a commenté le sénateur. « Des opérations différentes mais qui convergent vers les mêmes objectifs : améliorer les services à la population, accueillir de nouveaux habitants et visiteurs, créer de l’emploi et renforcer l’attractivité du territoire. Un très bel exemple aussi de partenariat entre la commune nouvelle de Rouget-Pers créée en 2016, la communauté de communes Cère et Rance en Chataigneraie et Logisens. Félicitations au maire, Gilles Combelle, et aux élus du territoire, tournés vers l’avenir, qui inscrivent leur action dans une vision prospective, optimiste et constructive. Merci également à Gilles pour son accueil chaleureux ».
Ouverture de la 8ème édition du Forum du télétravail, du coworking et des startups, par le sénateur Bernard Delcros qui souligne une nouvelle fois « combien le numérique peut être un levier de développement, une véritable locomotive pour stimuler l’entrepreneuriat et créer de l’emploi dans les territoires ruraux aussi ». Organisé par la Communauté de communes du pays de Murat, le Forum est aujourd’hui un rendez-vous connu et reconnu par les acteurs de l’économie collaborative en France. En résonance avec Ruralitic, il est selon le sénateur, un vecteur de valorisation d’une ruralité connectée, plus attractive auprès d’un public exogène qui pourrait demain choisir le Cantal pour y réaliser son projet de vie.
Le sénateur a répondu à l’invitation du Maire pour participer à l’inauguration de l’opération Cœur de village. « Ces travaux d’amélioration de la traversée du bourg, des abords de l’église et de la mairie sont une vraie réussite et contribuent fortement à l’attractivité de ce charmant village de 216 habitants », a souligné Bernard Delcros qui, à cette occasion, a tenu à rappeler l’importance de l’échelon communal, maillon essentiel de proximité dans le quotidien des habitants. « Les actions conduites par le maire, Gilbert Mommalier, et son équipe en sont une belle démonstration : rénovation du patrimoine, amélioration du cadre de vie, développement des services avec le projet de micro-crèche, création de nouveaux logements dans l’ancien presbytère, rénovation de la salle polyvalente… sont autant de projets menés par cette petite commune rurale » a rappelé le sénateur, félicitant tous les élus de Saint-Etienne-de-Chomeil pour leur dynamisme.
Le sénateur du Cantal s’est rendu à Anglards-de-Salers pour participer à la réunion de l’Association des maires ruraux du Cantal, présidée par Jean-Pierre Soulier, maire du Vigean, en présence de Vanik Berberian, président de la fédération nationale. Cette rencontre s’inscrit dans les « Assises de la ruralité » organisées par les maires ruraux dans tous les territoires. L’occasion pour le sénateur de balayer les sujets d’actualité : dotations aux collectivités, réforme de la DGF, péréquation, conséquences de la réforme territoriale, loi de finances 2017…, mais aussi d’inviter avec force les élus « à parler d’une même voix pour porter une ruralité qui doit être reconnue et prendre toute sa place dans la France de demain. Pour cela des mesures très concrètes doivent être mises en œuvre en faveur de l’agriculture de montagne et du développement rural. C’est ce combat que je mène au quotidien sur le terrain. Combat que nous devons mener tous ensemble pour construire une ruralité d’avenir ».
Le vendredi 14 octobre, le sénateur Bernard Delcros s’est rendu au sommet de l’élevage vendredi, à l’occasion du le lancement du « collectif d’élus en soutien à l’agriculture du Massif Central » présenté par Patrick Benézit, Président de la COPAMAC (Conférence des organisations agricole du Massif central). « C’est aux côtés de plusieurs de mes collègues parlementaires et élus du Massif central et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes que j’ai signé cet engagement, première page d’un projet collectif pour l’agriculture du Massif » a souligné Bernard Delcros. « Ce collectif d’éleveurs et d’élus doit nous permettre d’avancer ensemble pour élaborer des propositions en faveur d’un modèle agricole de montagne qui s’appuie sur la différenciation de nos productions et la création de valeur ajoutée. Un modèle à défendre auprès des instances nationales et européennes, notamment en prévision de la prochaine révision de la PAC en 2020.Ensemble, nous pouvons bâtir un projet d’avenir pour l’agriculture de notre Massif autour de plusieurs objectifs fédérateurs : des prix rémunérateurs du travail des agriculteurs, la reconnaissance des spécificités de la montagne, le soutien à l’installation et à la transmission, la simplification des normes ».