Le vendredi 14 octobre, le sénateur Bernard Delcros s’est rendu au sommet de l’élevage vendredi, à l’occasion du le lancement du « collectif d’élus en soutien à l’agriculture du Massif Central » présenté par Patrick Benézit, Président de la COPAMAC (Conférence des organisations agricole du Massif central). « C’est aux côtés de plusieurs de mes collègues parlementaires et élus du Massif central et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes que j’ai signé cet engagement, première page d’un projet collectif pour l’agriculture du Massif » a souligné Bernard Delcros. « Ce collectif d’éleveurs et d’élus doit nous permettre d’avancer ensemble pour élaborer des propositions en faveur d’un modèle agricole de montagne qui s’appuie sur la différenciation de nos productions et la création de valeur ajoutée. Un modèle à défendre auprès des instances nationales et européennes, notamment en prévision de la prochaine révision de la PAC en 2020.Ensemble, nous pouvons bâtir un projet d’avenir pour l’agriculture de notre Massif autour de plusieurs objectifs fédérateurs : des prix rémunérateurs du travail des agriculteurs, la reconnaissance des spécificités de la montagne, le soutien à l’installation et à la transmission, la simplification des normes ».
Le lundi 10 octobre, le sénateur Bernard Delcros était à Montypeyroux, à l’occasion du comité de Massif Central. « Je suis intervenu au sujet de la loi montagne dont l’examen a commencé à l’Assemblée Nationale » a indiqué le sénateur. « Ce projet de loi ne prend pas assez en compte les enjeux de la moyenne montagne, en particulier ceux de l’agriculture dont le modèle doit résolument être tourné vers la création de valeur ajoutée. C’est à cette condition que nous pourrons pérenniser un maillage des territoires en exploitations à taille humaine, garantes de secteurs ruraux vivants. Lors de l’examen au Sénat, je soutiendrai plusieurs amendements visant à rééquilibrer ce texte ».
Le samedi 24 septembre, Bernard Delcros s’est rendu à la mairie de Ydes afin de participer à une réunion de travail avec les élus de la Communauté de communes de Sumène-Artense, en présence de Mireille Leymonie, suppléante du sénateur. « Organisée par Marc Maisonneuve, président de l’intercommunalité, cette rencontre très intéressante a rassemblé la quasi-totalité des communes » a indiqué Bernard Delcros à l’issue de la réunion. « Après quelques mots d’accueil chaleureux de Guy Lacam, maire de Ydes, nous avons pu, deux heures durant, évoquer l’actualité législative de la rentrée et de nombreux sujets départementaux ou locaux. Contrats de ruralité, réforme de la DGF, incidences de la réforme territoriale sur les dotations de péréquation, loi montagne….ont largement alimenté les échanges. Nous avons également débattu, avec beaucoup d’intérêt partagé, de sujets plus locaux comme le futur schéma départemental de coopération intercommunal ou le désenclavement du Nord Cantal. L’occasion pour moi de rappeler que je soutiens avec force la demande très majoritaire des élus de l’arrondissement de Mauriac de disposer d’un délai supplémentaire pour réussir les fusions des intercommunalités. Enfin sur le désenclavement, les élus unanimes approuvent la nécessité d’avancer rapidement sur un projet ambitieux de liaison à l’autoroute A89 à partir du giratoire de « la Baraquette ». Ce projet, majeur pour l’avenir de l’arrondissement de Mauriac et son activité économique, doit dès maintenant mobiliser élus, acteurs économiques et habitants de notre département. C’est un projet vital pour l’avenir du Nord Cantal sur lequel je m’engagerai avec énergie. Un grand merci à Guy Lacam, Marc Maisonneuve et tous les élus pour ces échanges très riches qui se sont déroulés de manière très directe, dans la simplicité et la confiance, puis terminés autour d’un repas convivial ».
Le vendredi 16 septembre, Bernard Delcros a tenu à être présent lors de l’ouverture du concours national de la race salers, aux côtés notamment des éleveurs, de nombreux acteurs du monde agricole, des élus du Cantal et du Massif central, et du sous-préfet de Saint-Flour. Cet évènement sera suivi du 23 au 25 septembre prochains par le concours national de la race Aubrac. « C’est un beau symbole que de réunir au même moment, dans la cité des vents qui se situe au carrefour de ce deux races emblématiques de notre élevage, ces deux concours nationaux, avec une semaine de débats consacrés à l’avenir de notre agriculture de montagne » a commenté le sénateur. « C’est aussi l’occasion pour moi de rappeler que l’agriculture constitue le socle du tissu économique et social de notre département, que le maillage de nos espaces ruraux par un réseau d’exploitations agricoles de taille moyenne assure la présence humaine et la vie de nos communes rurales et que l’avenir du Cantal dépend du sort qui sera réservé à son agriculture ». Bernard Delcros a aussi voulu rappeler que, selon lui, « le maintien du tissu agricole dépendait de notre capacité à développer un modèle agricole mieux adapté à notre ruralité de montagne. Une agriculture à plus forte valeur ajoutée résolument tournée vers les productions de qualité attachées au terroir, les productions d’excellence, aussi bien dans la filière viande que dans la filière lait, en maîtrisant mieux les différents maillons de ces filières. Acteurs du monde agricole et élus doivent rapidement travailler « main dans la main » pour structurer et développer ce modèle agricole qui conditionnera l’avenir de notre ruralité »
Le vendredi 16 septembre, le sénateur a accueilli avec Ghyslaine Pradel, maire de Neussargues et Nicole Viguès, maire de Laveissière, une délégation d’élus et de techniciens du Lot. « Venus de Prayssac, commune de 2500 habitants située au cœur des vignobles de Cahors, la délégation était intéressée par notre action autour du télétravail et du coworking » a expliqué Bernard Delcros. « Nous avons pu leur faire visiter les locaux de la Maison des services puis ceux de la COcotte numérique en leur donnant quelques conseils pour les aider dans la construction de leur projet. S’ils sont repartis convaincus, ils comptent tout de même revenir au Forum du Télétravail, accompagnés d’élus de leur Communauté de communes pour les convaincre à leur tour ! Ces demandes de retours d’expérience sont de plus en plus fréquentes et il est important d’y répondre, d’y consacrer du temps car chaque accueil de délégation est un plus pour l’image et la promotion de notre territoire mais aussi pour l’économie locale. En effet restaurateurs, hébergeurs, petits commerces de proximité récoltent souvent les fruits de ce tourisme d’affaires que nous devons continuer à développer ».
Répondant à l’invitation de François Boisset, maire, le sénateur s’est rendu le 15 septembre à Riom-ès-Montagnes pour une réunion de travail avec le conseil municipal. « Cette rencontre m’a permis de prendre connaissance des projets de la commune : mise aux normes de l’assainissement, nouveaux locaux pour l’école de musique dont l’activité augmente, salle multi-activité ou encore création d’un nouveau lotissement » a déclaré Benrard Delcros dans la continuité de cette rencontre. « Avec près de 2800 habitants, Riom offre un ensemble de services qui en font un pôle d’attractivité pour tout le pays de Gentiane et au-delà. Nous avons pu examiner avec les élus, les possibilités de financement de ces projets structurants pour le territoire. L’occasion pour moi de rappeler qu’actuellement de réelles opportunités sont à saisir pour les projets portés par les collectivités. Cette réunion nous a également permis d’évoquer l’actualité législative de la rentrée ainsi que la mise en œuvre de la réforme territoriale ».
Le jeudi 15 septembre, le sénateur Bernard Delcros a accompagné deux ministres, à l’occasion de leurs visites de terrain dans le Cantal « Avec Jean Michel Baylet, Ministre de l’Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales, nous avons tout d’abord été à Ytrac, où nous avons été accueillis par le maire, Roland Cornet, qui nous a guidés sur le chantier de la maison de santé » a déclaré Bernard Delcros. « Cette réalisation permettra à la commune d’offrir aux professionnels un cadre de travail mutualisé et fonctionnel ». Le sénateur s’est ensuite dirigé vers le collège de la Ponétie avec Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, pour une rencontre avec l’équipe éducative et une classe de 5ème. « La réunion qui a suivi à la préfecture m’a permis de rappeler à la ministre, au préfet, au recteur et à tous les acteurs présents l’importance de maintenir un tissu éducatif adapté à notre territoire de montagne avec une offre scolaire de proximité. La ministre a annoncé que la convention scolaire mise en œuvre à titre expérimental dans le Cantal et qui a permis de conserver les postes d’enseignants sur 3 ans pourrait être prolongée. Ce qui est une très bonne chose. Enfin direction Ruralitic sur la commune de Polminhac où le maire, Jean-Louis Robert et les élus nous ont accueillis avant d’aller à la rencontre des élèves de l’école primaire, déplacés sur le site de Vixouze pour l’occasion. La ministre a pu constater l’agilité et la dextérité des enfants dans l’utilisation d’outils numériques pédagogiques. Ces visites ministérielles dans le Cantal sont toujours l’occasion pour les élus de rappeler les enjeux de notre département et la nécessité de bénéficier d’une véritable politique d’aménagement du territoire ».
Le sénateur Bernard Delcros était à Marcenat le 11 septembre dernier pour participer à l’inauguration de la nouvelle station d’épuration et des plaques émaillées installées sur l’ensemble du bourg et des hameaux pour dénommer les rues. « Accueilli par Colette Ponchet-Passemard et les élus de la commune nous avons pu visiter les installations en présence du Sous-Préfet de Saint-Flour, Serge Delrieu, d’élus du Cézallier et de nombreux habitants » a commenté le sénateur. « La commune, située au cœur du Cézallier, porte de nombreux projets pour améliorer les services aux habitants et renforcer son attractivité afin d’inscrire Marcenat dans l’avenir. Invité à prendre la parole, j’ai souhaité délivrer un message positif à l’attention de cette belle région préservée du Cantal. Le Cézallier a une carte à jouer, celle de la valeur ajoutée par l’excellence. Excellence des productions locales de qualité qu’il faudra mieux valoriser, excellence d’une offre touristique innovante immergée dans ce paysage d’exception. L’arrivée du numérique nous ouvre aussi un nouveau champ d’initiatives innovantes pour favoriser entrepreneuriat et l’installation de nouvelles familles à la recherche d’une meilleure qualité de vie. La création de la nouvelle intercommunalité au 1e janvier prochain devra être l’occasion d’engager cette dynamique de développement ».