Direction Saint-Flour pour Bernard Delcros qui y retrouve le président de la Mutualité Française du Cantal, Hervé Gravejat, le maire de la commune, Philippe Delort et de nombreux élus pour inaugurer le nouveau cabinet dentaire mutualiste qui tourne déjà à plein régime.
Pour le sénateur, « ce cabinet dernier cri qui propose toute la palette des soins dentaires de la chirurgie, à l’implantologie et la parodontologie vient renforcer l’offre de soins de la commune mais aussi plus largement du bassin Sanflorin et devrait attirer, je le pense, de nouveaux professionnels de santé « .
Diviser par deux le rythme d’artificialisation des sols au cours des dix prochaines années pour atteindre l’objectif national de «zéro artificialisation nette» (ZAN) en 2050 est l’une des mesures de la loi Climat et Résilience qui inquiète de nombreux élus ruraux car ils y voient un frein au développement de leur commune.
C’est précisément autour de ce sujet que l’AMF du Cantal a organisé un débat à Aurillac, en présence de Jean-Baptiste Blanc, sénateur du Vaucluse qui porte une proposition de loi visant à adapter certaines dispositions pour les territoires ruraux.
Lors de cette rencontre, le sénateur Bernard Delcros a renouvelé son soutien aux élus cantaliens et réitéré sa proposition qu’il avait défendue au congrès de l’Association Nationale des Elus de la Montagne (ANEM) en octobre dernier et dont le principe a été retenu dans le texte qui sera examiné au Sénat le 14 mars prochain : « la loi doit garantir un hectare minimum de droit à construire pour toutes les communes rurales sans exception afin qu’elle puisse accueillir de nouvelles familles et/ou développer de nouvelles activités. Elle doit aussi exclure les nouvelles constructions agricoles du mode de calcul de la superficie garantie notamment en zone de montagne ».
« Sans remettre en cause la nécessaire lutte contre l’étalement urbain pour protéger les écosystèmes, cette loi ne doit en aucun cas se faire de manière arithmétique et indifférenciée au détriment des territoires ruraux » souligne Bernard Delcros qui suivra de près l’examen de ce texte et portera des amendements dans ce sens.
Le sénateur Bernard Delcros est en Margeride pour inaugurer à Clavières une salle polyvalente, véritable lieu de vie intergénérationnel et quatre appartements équipés, adaptés au grand âge avec des espaces partagés et des services de proximité afin de permettre aux résidents de continuer leur vie en parfaite autonomie et de rompre l’isolement.
Pour le sénateur du Cantal, « Cette réalisation est exemplaire car elle répond à un véritable enjeu de société, l’accompagnement des personnes âgées avec l’humain comme fil conducteur. Aussi, je tiens à féliciter le maire, Gilles Bigot, ses équipes et tous les acteurs de ce beau projet qui renforcera sans nul doute l’attractivité de la commune ».
C’est sur le thème des finances que le sénateur Bernard Delcros s’est exprimé lors du Conseil municipal de Naucelles, à la demande des élus qui ont besoin de visibilité dans une période budgétaire alors que la commune porte un projet important : l’aménagement de la traversée du bourg qui permettra de transformer un axe de transit en une voie plus sûre, mieux intégrée dans son environnement et de poursuivre la dynamique commerciale de la commune.
« Un projet d’envergure qui améliorera le cadre de vie des habitants et renforcera l’attractivité de la commune que je soutiendrai » a souligné Bernard Delcros.
C’est autour de l’exclusion numérique que Bernard Delcros est invité à débattre dans l’émission « Dimanche en politique », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes.
Pour le sénateur du Cantal, « Avoir accès à Internet et savoir utiliser les outils numériques est devenu presque aussi indispensable que savoir lire, écrire et compter. Pourtant, aujourd’hui encore, 14 millions de Français sont éloignés du numérique et sont notamment dans l’incapacité d’effectuer des démarches administratives en ligne et de ce fait n’ont pas accès aux services publics ».
Cette situation accentue les inégalités entre les personnes, l’isolement social, le décrochage scolaire, les difficultés économiques pour les TPE et PME peu numérisées, l’incapacité à faire société…
La lutte contre l’illectronisme est à son sens un enjeu de politique publique comparable à l’illettrisme et doit pour cela faire l’objet d’un plan national ambitieux pour réduire les inégalités entre les territoires, entre les personnes et ce quel que soit leur âge car contrairement aux idées reçues toutes les générations sont concernées.
A Sansac-de-Marmiesse, c’est autour de l’école qui accueille aujourd’hui 120 enfants que le sénateur Bernard Delcros a retrouvé les élus de la commune, le préfet du Cantal ainsi que le président du Conseil départemental.
Au programme, l’inauguration de la première tranche de travaux qui concernait les locaux de l’école maternelle et le préau. « Une opération réussie qui améliore considérablement les conditions d’accueil et d’apprentissage des enfants et de travail des enseignants« , souligne le sénateur.
La prochaine étape de ce projet d’envergure est d’ores et déjà sur les rails, la construction d’une nouvelle école élémentaire, un projet d’avenir pour lequel la commune continuera de bénéficier de son soutien.
Le sénateur Bernard Delcros a répondu à l’invitation du maire de Yolet, Louis Esteves, pour un point d’étape sur l’état d’avancement d’un chantier important pour la commune : la création d’un bar-restaurant en centre-bourg.
« Ce projet de développement au service de la dynamique sociale et commerciale améliorera le cadre de vie des habitants avec un lieu de vie en devenir qui bénéficiera d’un point de vue remarquable sur la magnifique vallée de la Cère » rappelle le sénateur.
Le sénateur Bernard Delcros répond à l’invitation des maires de la communauté de communes Cère et Goul en Carladès pour échanger sur plusieurs dossiers parmi lesquels, le réseau France services.
« Ce dispositif en plein essor en milieu rural sur lequel je travaille depuis plusieurs mois a démontré son utilité sur le terrain et doit être renforcé ! » rappelle le sénateur du Cantal, pressenti pour porter une nouvelle mission ministérielle autour de l’acte II des France services annoncé par le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Stanislas Guérini.