Dans le cadre de l’examen du projet de loi « pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire, et une alimentation saine, durable et accessible à tous, le sénateur du Cantal a défendu plusieurs amendements pour apporter des améliorations à ce texte capital tant pour les agriculteurs que pour les consommateurs.
Parmi les amendements défendus ce jour et adoptés par le Sénat :
Voir son intervention sur les abattoirs de proximité
Voir son intervention sur les fromages fermiers
Très investi depuis plusieurs semaines sur ce projet de loi pour lequel le sénateur a déposé ou signé une quarantaine d’amendements, Bernard Delcros est intervenu avant le début d’examen des amendements. Objectif, rappeler les enjeux de ce texte. « Nous devons inscrire dans le marbre de cette loi des mesures concrètes qui nous assureront que l’esprit de ce texte ne sera pas détourné sur le terrain » a t-il déclaré !
Voir l’extrait de son intervention
Pour Bernard Delcros, la baisse importante du budget de la Politique Agricole Commune annoncée par la commission européenne pour la programmation 2021-2027, n’est pas un bon signal envoyé à la ruralité .
Cette évolution s’accompagnerait de la réduction de plus de 20% du « Fonds Européen agricole pour le Développement Rural » (FEADER), principal levier de financement consacré au développement des territoires ruraux. « Pour la période 2021-2027, ce fonds s’élèverait à 79 milliards d’euros contre 100 milliards dans l’actuelle programmation. Le premier combat à mener par la France sera d’obtenir un redéploiement des crédits pour rehausser cette enveloppe au même niveau que 2014-2020, afin de ne pas pénaliser les territoires ruraux, principaux bénéficiaires de ce fonds”.
Lors du rendu final de son travail sur la politique de cohésion de l’Union européenne, Bernard Delcros attire l’attention des sénateurs de la commission des affaires européennes ainsi que de l’aménagement du territoire et du développement durable sur plusieurs points de vigilance à avoir pour conserver certains critères, remis en cause par certains Etats membre, parmi lesquels :
Rapporteur de la politique de cohésion de l’Union européenne pour la commission des finances, le sénateur Bernard Delcros rend son avis final sur le travail qu’il a mené avec deux autres sénateurs sur le budget proposé pour la période 2021-2027.
« Si les crédits dédiés à la dynamique économique et l’emploi devraient rester stables pour la France, il n’en n’est pas de même pour l’évolution de la Politique Agricole Commune dont la baisse importante fragiliserait considérablement la ruralité », souligne le sénateur en préambule de son intervention.