Troisième participation du sénateur Bernard Delcros aux « Dialogues de Bercy », une réunion préparatoire organisée au ministère de l’Economie et des Finances, en présence du ministre des Comptes publics, Thomas Cazenave, autour de 3 thématiques : Transition écologique, Justice fiscale et lutte contre la fraude, Logement, Economies et revues de dépenses.
« Cette réunion de concertation est très importante car elle permet d’échanger, de faire des propositions, d’inspirer, je l’espère, l’exécutif en amont de l’examen du projet de loi de finances pour l’année 2024. Comme à chaque saison budgétaire, je mettrai toute mon énergie pour défendre les finances de nos collectivités locales, l’équité territoriale et la justice fiscale », souligne le sénateur du Cantal.
C’est au nom du Parlement Rural Français qu’il préside depuis plus d’un an, que le sénateur Bernard Delcros a lancé le Prix Médias et Ruralités à Paris, au siège de la Fondation Varenne, en présence de journalistes de la presse nationale et régionale.
Objectif de ce prix, susciter de vraies rencontres entre les acteurs du monde rural (élus, habitants, acteurs économiques et associatifs…) et les médias généralistes afin de leur donner toutes les clés pour mieux connaître le potentiel des ruralités, et promouvoir les articles de presse qui poseront un regard positif et optimiste sur les campagnes françaises, où se trouvent les solutions pour répondre aux nombreux défis que la France doit relever : dérèglement climatique, souveraineté alimentaire, réindustrialisation, cohésion sociale…
Entouré des principaux partenaires, la Fondation Varenne, la Fondation RTE, Le Groupe La Poste, Groupama Aura et le crédit coopératif, le sénateur du Cantal les a chaleureusement remerciés pour leur engagement dan le cadre de ce Prix qui permettra de mettre en lumière la richesse et les atouts des territoires ruraux.
C’est accompagné de la députée Marie-Agnès Poussier-Winsback qui a travaillé à ses côtés sur le sujet que le sénateur du Cantal a remis au ministre de la Transformation et de la Fonction publiques le rapport « France services, une nouvelle étape vers un service universel » élaboré dans le cadre de la mission que leur a confié la Première Ministre, Elisabeth Borne.
« Dans une société de plus en plus numérisée, cette mission Une mission essentielle dans une société de plus en plus numérique qui laisse trop de personnes sur le bord du chemin car démunies face à des démarches dématérialisées souvent complexes ».
Ce rapport est le fruit d’un travail de terrain de 4 mois qui a donné lieu à de nombreux déplacements dans les territoires de France pour aller au contact des élus locaux, porteurs de ces structures, échanger avec les conseillers France services, les opérateurs présents et ceux qui pourraient potentiellement venir renforcer le bouquet de services, recueillir également l’avis des usagers.
« Il contient 33 propositions pour faciliter l’accès aux France services à tous les habitants, enrichir l’offre pour couvrir les besoins aujourd’hui non couverts, renforcer le soutien financier aux collectivités et porteurs de ces structures et mieux valoriser le métier des conseillers France services qui font vivre ces lieux au quotidien avec un sens aigu du service public » précise Bernard Delcros.
Après avoir accompagné dans la Vienne la Première ministre qui a présenté le Plan France ruralités, le sénateur du Cantal a répondu à l’invitation de la chaine parlementaire Public Sénat pour réagir à chaud sur les mesures annoncées par Elisabeth Borne.
Dans les 4 extraits ci-dessous, il exprime sa satisfaction de voir la ruralité au cœur de l’action gouvernementale à travers les premières mesures annoncées. « Nous l’attendions depuis des décennies. Néanmoins, avant leur mise en application, il va falloir poursuivre notre travail pour renforcer certaines d’entre elles notamment dans le domaine de l’offre de soins, de l’éducation, des mobilités dans nos campagnes » et revient sur des avancées pour la ruralité qu’il défend depuis longtemps comme la pérennisation et l’évolution des ZRR pour les territoires les plus fragiles, l’augmentation de la dotation Biodiversité ou l’adaptation de l’objectif ZAN pour les communes rurales.
Voir l’extrait sur le plan France Ruralités
Voir l’extrait sur la dotation biodiversité
Voir l’extrait sur l’objectif de ZAN
Voir l’extrait sur les déserts médicaux
Le sénateur du Cantal a répondu à l’invitation de la Première ministre pour l’accompagner dans la Vienne avec les ministres Christophe Béchu et Dominique Faure, département qu’elle a choisi pour présenter les principales mesures du plan France Ruralités. « Un plan global et cohérent qui s’inscrit dans la durée et couvre pour la première fois tous les champs de la vie rurale ».
Parmi les avancées, quelques mesures défendues de longue date par Bernard Delcros, qui trouvent un écho dans la trajectoire annoncée par la Première ministre :
« Dans le domaine des services au public comme la santé, l’éducation, les mobilités, l’habitat… les mesures annoncées vont dans le bon sens mais il faut aller plus loin notamment pour l’accès aux soins dans nos territoires sous dotés pour lequel des mesures urgentes sont nécessaires ou encore dans le domaine de l’éducation et de la gestion de la carte scolaire ».
Si pour le sénateur tout n’est pas réglé, « il faut reconnaître et saluer l’intérêt du plan France Ruralités qui ouvre de nouvelles perspectives pour nos campagnes ! »
Après avoir été saisi par les agents du Centre d’Exploitation et d’Intervention de Murat qui assurent la gestion quotidienne du tunnel du Lioran, le sénateur Bernard Delcros intervient ce matin au cours de la séance de Questions Orales pour interpeller le ministre sur leur situation.
« Ces agents assurent l’entretien et la gestion quotidienne du tunnel du Lioran et ne perçoivent pas la prime technique à laquelle ils ont droit compte tenu de la longueur du tunnel et de sa situation en altitude, de surcroît en zone de montagne » souligne t-il.
Le ministre a assuré que leur situation comme celle d’agents d’autres Directions Interdépartementales des Routes (DIR) devrait s’améliorer cette année. A suivre…
C’est en présence de Dominique Faure, ministre chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité que la première session territoriale du Parlement Rural Français, présidée par Bernard Delcros, a été organisée à Savines-le-Lac, dans les Hautes-Alpes, au bord de l’emblématique lac de Serre-Ponçon.
Plénières et tables rondes autour de la gestion de l’eau et des aménités rurales ont démontré une nouvelle fois les atouts des territoires ruraux et leur place qui va inéluctablement se renforcer dans la France de demain a rappelé le sénateur du Cantal.
Au cours de cette session, la ministre a esquissé les grandes lignes du plan France Ruralités, « un socle de politiques publiques en faveur de la ruralité »
Le président du Parlement Rural Français a rebondi sur ses propos et lancé un appel au gouvernement, « pour un plan d’ampleur en faveur des campagnes afin d’offrir de réelles perspectives aux jeunes qui souhaitent y bâtir leur vie ».
« Reconnaissance et rémunération des apports de la ruralités, prise en compte de la notion d’espace rural dans le calcul des dotations, renforcement des ZRR pour lequel je viens de déposer une proposition de loi, plus de souplesse et de flexibilité dans les réglementations pour une meilleure adaptation aux réalités du terrain, garantie de 1 ha minimum constructible pour toutes les communes rurales, engagement de l’Etat aux côtés des territoires ruraux pour un maillage de services dans les domaines de la santé, de l’éducation, du logement, des mobilités … le plan France Ruralités doit impulser une nouvelle politique d’aménagement de territoire en s’emparant de tous ces sujets. Les campagnes doivent être entendues car elles sont les solutions ! » a t-il déclaré aux journalistes et aux 200 participants .
Toutes ces propositions ont fait l’objet d’une résolution qu’il a adressé au Gouvernement en amont de la présentation du plan France Ruralités par la Première ministre.
Le sénateur du Cantal intervient à la tribune au nom de son groupe lors du débat sur le programme de stabilité et l’orientation des finances publiques transmis par la France à la Commission européenne.
La ligne qu’il défend est claire : « Mieux maîtriser nos dépenses tout en actionnant le levier des recettes notamment à travers une lutte plus soutenue contre la fraude fiscale, un travail de fond en direction des niches fiscales… C‘est ainsi que nous réussirons à réduire notre dette tout en répondant aux besoins du pays ! »
Voir l’extrait de son intervention