Trois ans après le déploiement du réseau France services, le sénateur du Cantal a souhaité mener un contrôle budgétaire avec trois principaux objectifs : évaluer le fonctionnement des maisons France services et le ressenti de tous les acteurs sur le terrain, dans les quartiers prioritaires de la ville comme dans les territoires ruraux, identifier les points à améliorer en termes de gestion et de services aux usagers et faire des propositions concrètes pour consolider et améliorer ce dispositif à l’échelle nationale.
Accroître le nombre de partenaires nationaux pour offrir plus de services aux habitants, valoriser le métier d’agent France services, accentuer le déploiement des maisons dans chaque bourg centre en zone rurale pour plus de proximité, augmenter la contribution de l’Etat et des opérateurs nationaux pour soutenir davantage les collectivités qui portent la majorité de ces structures… font partie des 27 propositions que le sénateur du Cantal a défendues et qui ont toutes été validées par les membres de la commission des finances.
Pour mener ce travail au plus près des réalités du terrain, le sénateur Bernard Delcros a consulté plus de 500 élus locaux, échangé avec des responsables élus et techniciens de maisons France services, partagé le quotidien d’agents d’accueil, de conseillers numériques, et des usagers en banlieue Lilloise et dans le Cantal.
Prochaine étape, poser les bases d’un débat au Parlement à l’occasion de la prochaine loi de finances et permettre à ces structures au service des territoires de franchir un nouveau cap !
Le sénateur du Cantal est sur le plateau de « Bonjour Chez vous » pour commenter l’actualité suite aux élections législatives. 30 minutes de direct où il répond aux questions des journalistes sur le pouvoir d’achat, la nouvelle donne politique à l’Assemblée nationale, son appel au président de la République pour la ruralité, la flambée des prix qui impacte les familles et les collectivités locales.
Voir l’extrait sur la nouvelle donne politique
Voir l’extrait sur l’appel au président de la République
Voir l’extrait sur le plan d’ampleur pour la ruralité
Voir l’extrait sur la flambée des prix et les collectivités locales
C’est à la tête de cette instance transpartisane, composée de très nombreux acteurs parlementaires, départements, élus locaux, chefs d’entreprises, chercheurs, responsables associatifs et citoyens que vient d’être élu Bernard Delcros. Il y assurait jusqu’à présent les fonctions de secrétaire général.
Pour le sénateur du Cantal qui milite depuis toujours pour un rééquilibrage des politiques publiques en faveur des campagnes, cette élection lui ouvre de nouvelles perspectives pour agir : « Le Parlement rural a connu une montée en puissance rapide depuis sa création notamment grâce au rôle qu’il a joué dans le cadre de la présidence française du Conseil de l’Union européenne pour faire bouger les lignes, grâce à sa participation active dans l’élaboration de l’agenda rural français aujourd’hui cité en exemple par plusieurs pays européens et à sa forte mobilisation pour la mise en œuvre d’un agenda rural européen. Mais aujourd’hui nous devons passer à la vitesse supérieure et mettre en œuvre un plan d’ampleur en faveur des territoires ruraux. C’est ce nouvel élan que je souhaite incarner pour les deux années à venir. »
Obtenir une meilleure reconnaissance des espaces ruraux qui représentent 80% du territoire national et 30% de la population française, leur donner les moyens de se développer en misant sur leurs nombreux atouts pour relever les défis démographiques, écologiques, socio-économiques du 21ème siècle, améliorer l’accès aux soins, aux services, à la mobilité, au numérique pour bâtir des territoires d’avenir… sera le fil rouge de son mandat, assure le sénateur du Cantal.
Rendez-vous sera pris dès les prochaines semaines avec le nouveau gouvernement pour poser les bases d’une relation de travail solide et pragmatique que le sénateur souhaite établir avec l’exécutif.
« C’est un honneur de succéder à mon collègue sénateur Patrice Joly avec lequel nous avons beaucoup œuvré pour faire entendre la voix de nos campagnes, notamment lors de la présidence française du Conseil de l’Europe alors que j’assurais les fonctions de secrétaire général », déclare le sénateur du Cantal, élu à la tête de cette instance nationale.
Améliorer l’accès aux soins, aux services, à la mobilité, au numérique pour bâtir des espaces ruraux d’avenir, mettre rapidement en œuvre une politique d’aménagement du territoire juste et équilibrée sera le fil rouge de son action pour les deux années à venir, assure Bernard Delcros.
Pour cela, il rencontrera dans les prochaines semaines les membres du nouveau gouvernement afin de poser les bases d’une relation de travail solide et pragmatique avec en ligne de mire la mise en œuvre d’un plan d’urgence pour les territoires ruraux et la nomination d’un ministre en charge de la ruralité.
Invité à la Rural Pact Conférence à Bruxelles, un événement clé qui s’inscrit dans la feuille de route de la Commission européenne sur l’avenir des zones rurales, le sénateur Bernard Delcros est aux côtés de Patrice Joly, sénateur de la Nièvre, pour présenter l’action du Parlement rural et le rôle qu’il a joué dans l’élaboration de l’agenda rural français aujourd’hui cité en exemple par plusieurs pays européens
Cette conférence internationale réunit de nombreux experts, acteurs politiques et économiques investis dans la redynamisation des territoires ruraux d’Europe et offre une nouvelle occasion pour le sénateur du Cantal de porter la voix des territoires ruraux français à l’échelle européenne.
« Ces événements transnationaux nous permettent de confronter nos visions, de travailler main dans la main avec des responsables politiques et des acteurs de terrain d’autres pays pour faire avancer la ruralité à l’échelle européenne. Nos espaces ruraux ont de vrais touts pour relever les défis démographiques, socio-économiques, de transition écologique. Ils doivent peser davantage dans les politiques publiques ! » rappelle Bernard Delcros.
Invité par le sénateur de la Meuse, Franck Menonville, le sénateur Bernard Delcros est à Bar-le-Duc pour présenter, aux élus locaux, le projet de réforme des zones de revitalisation rurale. Un sujet sur lequel il travaille depuis des mois.
Il revient tout particulièrement sur les 14 propositions concrètes et opérationnelles qu’il a défendues en avril dernier à Matignon avec ses collègues parlementaires (la sénatrice Frédérique Espagnac, les députés Anne Blanc et Jean-Noël Barrot) associés à cette mission ministérielle, pour pérenniser ce dispositif, un temps menacé de disparition, et le faire évoluer afin de le rendre plus juste et plus efficace en faveur des dynamiques rurales.
Comme il tient à le préciser, ces 14 propositions avaient toutes reçues un avis favorable et devaient, à la demande du Premier ministre, faire l’objet d’un débat à l’occasion d’une prochaine loi de finances.
Compte tenu du nouveau contexte politique, il restera mobilisé pour que « nos propositions puissent être débattues dans l’hémicycle à la rentrée prochaine et que cette réforme, essentielle pour l’avenir de nos territoires ruraux, aboutisse enfin ! »
Invité par Michel Fournier, président de l’Association des Maires Ruraux pour faire un point d’étape sur les zones de revitalisation rurale et les 14 propositions qu’il a remises le mois dernier au Premier ministre pour améliorer ce dispositif en faveur des territoires ruraux, le sénateur Bernard Delcros est également revenu sur le rôle de l’échelon communal dans l’organisation territoriale et la nécessité de renforcer ce maillon essentiel.
« Repenser les critères qui ne doivent plus reposer seulement sur le nombre d’habitants mais aussi sur la spacialité gérée par les communes rurales, adapter les normes nationales aux réalités du terrain doivent être au coeur de nos priorités » a t-il rappelé aux nombreux élus ruraux présents.
Selon Bernard Delcros, la Loi relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration portant diverses mesures de simplification de l’action publique locale a permis d’obtenir quelques avancées dans ce domaine mais pour le sénateur du Cantal, « il faut désormais passer à l’application concrète pour donner plus de souplesse, plus de marge de manœuvre aux élus locaux engagés dans le développement de leur commune », a t-il déclaré réitérant son soutien et sa détermination à poursuivre son travail dans ce sens.
Alors que la France préside le Conseil de l’Union européenne et qu’un nouveau quinquennat est sur le point de s’ouvrir, le Parlement rural a organisé un nouvel acte de « Ruralisons l’Europe ! » dans la ville de Lyon.
Secrétaire général du Parlement rural, le sénateur Bernard Delcros est intervenu pour mobiliser acteurs ruraux et décideurs européens autour de la nécessité de « ruraliser » les politiques de l’UE via un Agenda rural en faveur du développement des campagnes et des petites villes qui sont au cœur des grands enjeux à venir.
« Réchauffement climatique, crise sanitaire, tensions politiques et sociales… démontrent chaque jour la nouvelle donne dont la France et l’Union européenne ont besoin pour répondre aux enjeux de transition écologique, de souveraineté alimentaire, de cohésion sociale… Et je suis convaincu que les territoires ruraux ont les atouts nécessaires pour relever ces défis » a t-il martelé avant de réitérer sa détermination à faire avancer l’idée d’une Europe des ruralités forte et ambitieuse.